Lectures manga #041-#042: mai et juin 2023

Ouais ça fait longtemps tout ça. Les mois de mai et de juin ont été complexes et chargés: entre la reprise du boulot (avec une classe à charge à plein temps en guise de remplacement) et la sortie de Tears of the Kingdom, le temps consacré à la lecture comme au blogging s’est avéré très restreint. À cela, il faut ajouter le report de l’achat du tome 6 de Kobayashi, car tous les exemplaires étaient défectueux chez moi… Et au final, j’ai dû relire les tomes pour me les remettre en tête !


Bref, je vous laisse avec ces 3 mangas chroniqués, tout en vous glissant une information qui ne changera peut-être rien pour nombre d’entre vous, mais bon: dans un souci d’inclusivité, j’ai décidé de remplir les ALT des images du blog à partir de cet article, ce afin d’aider les éventuels visiteurs malvoyants ou aveugles. Je repasserai sur les anciens articles pour les ajouter, mais ne soyez pas trop pressés ! Bref, bonne lecture, et normalement les autres articles devraient arriver assez vite, puisqu’ils sont déjà écrits !

Chaque fois que Sakura sort d’un rêve, elle gagne une nouvelle carte. Or, plus ses pouvoirs magiques augmentent, plus le mystère qui les entoure, Akiho et elle, s’épaissit. Au milieu de toute cette obscurité, un pan du passé de Kaito s’éclaire et on en apprend plus sur son amitié avec la mère d’Akiho. Une histoire qui prend sa source dans un lointain passé est sur le point de s’écrire alors que le rideau se lève sur la pièce de théâtre fatidique !

J’ai souvent reproché à cette séquelle de ne pas avancer, mais le moins que l’on puisse dire c’est que dans ce treizième tome, l’histoire avance grandement ! On découvre notamment le passé de Kaito et son lien avec Akiho s’explique maintenant pleinement. La seconde moitié du tome est consacré au début de la pièce de théâtre, qui sera bien évidemment aussi la scène (jeu de mots) du dénouement final de l’arc. Un tome bien rythmé et où l’on n’a pas la sensation de tourner en rond, cela faisait bien longtemps que ce n’était pas arrivé dans Sakura Clear Card, et mieux vaut tard que jamais. Si vous avez survécu aux autres tomes un peu plan-plan, votre patience devrait être récompensée avec ce tome.

Maintenant que le festival culturel est terminé et que le club d’art est sauvé, il est temps pour Nagatoro et son cher senpai de retrouver leurs activités habituelles. Il sera donc question d’apprendre à saluer, de mélanges étranges avec des sushis, ou encore d’une visite au zoo en duo…

Toujours aussi plaisant de retrouver notre pestouille favorite. Sans surprise, c’est l’histoire en plusieurs chapitres au zoo qui m’a le plus marqué, mais, comme d’habitude avec ces trainards de NoevegrafX, c’était déjà le cas dans la diffusion de l’anime… Un mot sur le bonus de l’édition Deluxe: tout comme au Japon, on a droit à un recueil d’histoires courtes et d’illustrations intitulé « Tu ne fais que me chauffer, Nagatoro ! ». Si les illustrations couleurs sont souvent très sympas, les histoires courtes dessinées par d’autres auteurs sont très dispensables.

Les sentiments de Yori et Himari sont réciproques: elles entament donc une relation amoureuse. Alors que Yori décide de continuer à faire partie du groupe malgré avoir atteint son objectif sentimental, Shiho Izumi, l’ex-chanteuse des SSGIRLS, se dresse devant elle. Cette dernière et Aki semblent être liées d’une façon ou d’une autre…

On avait donc laissé nos héroïnes (lien) avec une confession réciproque et une mise en couple. Après avoir conclut son triptyque, Eku TAKESHIMA nous propose un quatrième tome que l’on pouvait facilement anticipé. D’un côté, on découvre les premières semaines de couple de nos héroïnes, avec son lot de touchant, de mignon, de maladresse. D’un autre côté, il faut bien relancer l’intrigue, et cela passe par l’arrivée de quelques nouveaux personnages, notamment Shiho. Présentée sous un jour particulièrement détestable, elle est au centre des nouvelles intrigues, et gageons que son caractère particulièrement désagréable nous sera bien justifié à un moment ou un autre de l’histoire. Bref, un bon tome de transition, et il est fort dommage que Taifu laisse s’écouler autant de temps entre la sortie de 2 tomes…

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